Le Palace

Grace Jones au Palace dans les années 70. © Dymant/DALLE.

Haut lieu des nuits parisiennes créé par Fabrice Emaer, ce club inspiré du Studio 54 à New York, organise entre la fin des années 1970 et débuts des années 1980 de folles soirées où se côtoient célébrités et anonymes.

Bus Palladium

Au Bus Palladium, 12 décembre, 1965. © REPORTERS ASSOCIES/GAMMA

Club mythique des années 1960 et 1970, ce temple du Rock devient le lieu de RDV de la jeunesse branchée. Des Beatles, en passant par Dali ou encore Serge Gainsbourg, Johnny Hallyday ou Vigon, nombreux sont les artistes qui s’y produisent.

Le Phil One

À la fois boite de nuit et salle de concert, c’est un des hauts lieux des musiques africaines à Paris. Son podium servira à un défilé de « sapeurs » dans une scène du film « Black Mic Mac » de Thomas Gilou en 1986.

La Dérobade / Louxor

New Morning

À la fois salle de concert intimiste et club de nuit, ce lieu incontournable pour les amateurs de jazz est dès son inauguration en 1981 ouvert à toutes les scènes musicales. Manu Dibango, Cesaria Evora ou Prince font ainsi partie des artistes qui s’y produisent.

Le Rex

DJ Chloé au Rex Club le 24 mai 2008. © Stéphane Burlot / DALLE.

Ouvert au début des années 1970, il accueille les premières soirées de musiques électroniques dans les années 1980. Aujourd’hui encore il demeure un lieu de référence pour ce style musicale venu de Grande-Bretagne.

L'Opéra Night

Le Tango

Situé au cœur de Paris, il devient célèbre dans les années 1980 grâce à ses fameuses soirées à thèmes, organisées par Serge Kruger, ancien DJ à la main Bleue et roi des nuits parisiennes au cours des années 1970. Au cours de ces soirées, les musiques africaines, caribéennes et sud-américaines étaient mises à l’honneur.

La Plantation

À la plantation, 1983. © Bill Akwa Bétotè

Rubys

Le Nelson

La 5ème dimension

La Main Bleue

Studio Ferber

Studio Davout

Anvers Musique

Afrique Musique

Le Keur Samba

Un des lieux emblématiques des musiques africaines. Ce club privé très sélect', situé non loin des Champs-Élysées, est fréquenté dans les années 1980 par une clientèle fortunée, constituée en partie d’artistes et de personnalités politiques françaises et africaines.

Le Kiss Club

Quartier de Barbès

La « Reine du Raï » Cheikha Rimitti/Editions Scop music.

Au cours des années 1970 et 1980, le quartier de Barbès est un important lieu de production et de diffusion des musiques en provenance d’Afrique, comme l’atteste à cette époque les nombreux labels et disquaires recensés.

Caroline

Johannas

Studio l'Aquarium